Mina Voyance

Présentation de Mina

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Une voyante ne prédis que ce qu’on lui donne…

Peinture et Divination

Mina de son vrai prénom est d’origine marocaine. Née sous le signe du Scorpion avec un ascendant Sagittaire, elle emporte ses consultants au-delà des frontières du paranormal avec force détails et une précision reconnue.

Après avoir débutée comme artiste peintre, cette autodidacte s’est engagée dans la voyance par vocation. Son hypersensibilité et une expérience acquise dans plusieurs cabinets de voyance par téléphone de la capitale, l’incitent à relever un important défi en 2010. Elle décide de s’établir à son compte en créant son site internet et le façonner à son image pour s’en servir comme espace de travail.

Comment la voyance est-elle venue à vous ?

Mon grand-père et l’une de mes tantes du côté maternel m’ont appris. Grand-père avait « le don ». Il était magnétiseur et soignait les gens avec la numérologie ou le prénom de la personne. Il n’était pas marabout, mais guérissait par les prières. Vers l’âge de 14 ans ; encore adolescente, j’ai commencé à « voir » et à en parler avec mon entourage sans pratiquer.

Plus tard, j’ai pu me livrer à quelques expériences avec des proches. A l’époque où je peignais, je faisais parfois de la voyance chez des amis. Les résultats positifs et le bouche à oreille ont développé rapidement une vraie clientèle.

Les consultations se sont faites régulières et la voyance a pris le dessus. Je me suis tourné vers  l’audiotel dès mes débuts, car je voulais préserver ma vie privée. Pratiquer à distance m’a tout de suite plu. Par téléphone, je suis plus calme et détendue et ne dit-on pas que la voix est le premier fil conducteur.Les cartes complètent les ressentis

Comment se déroule une consultation ?

Dès le début de l’échange, je demande l’âge et le prénom. C’est tout ! Puis je parle le temps nécessaire qu’il me faut pour percevoir et savoir si je capte bien la personne. Ensuite, je l’invite à poser sa question.

C’est un moment important pour moi, car on doit la formuler le plus précisément possible afin que je puisses par la suite m’exprimer. J’arrive alors à délivrer mes messages sans interférences.

Je n’ai pas vraiment de spécialité car on peut aborder tous les sujets.  Oui, sauf ceux très douloureux qui ne sont pas de ma compétence. Si je ressens une fragilité chez mon consultant, j’attends et fais en sorte de le ménager. Il faut toujours respecter une certaine distance et neutralité dans ce métier. En revanche, je sais rester franche.

En quoi créez-vous la différence  ?

L’exercice de la voyance ; comme la peinture il y a quelques années, me permet d’être moi-même et de sortir de ma coquille. Cultiver le goût des autres, ouvrir son cœur et créer des liens grâce à mon activité principale, m’ont permis de trouver ma voie. Au-delà de mes espérances.

Lorsque je suis avec mon client, je peux répondre à une question précise sur l’amour en abordant un tout autre sujet ! Si ce que je ressens est plus important à mes yeux, je me fie aux détails qui me viennent et je donne d’autres indices. Au final une consultation peut être plus étendue que ce que l’on croit.

Mais je n’ai pas de flashs plutôt des clichés et je n’entends pas de petites voix… Tout est en moi comme naturel avec ce que je ressens. J’aime de temps en temps le préciser, car beaucoup de personnes imaginent la voyante comme un personnage habité et austère, inquiétant et mystérieux ou semblable à l’image d’Epinal d’une mama enturbannée (rires).

Que dire à ceux qui cherchent à vous consulter ?

Dans ce métier, j’ai appris à faire la part des choses. Il y a une hygiène de vie à suivre et des règles à respecter. Un praticien doit préserver sa santé, son mental et son moral, être honnête et rester lui-même. C’est Indispensable pour pouvoir aider son prochain et ne pas se disperser. Quand je donne des informations, celles-ci ne changent pas. Si beaucoup de choses sont écrites à l’avance, le temps est par contre difficilement maîtrisable. La voyance a ses limites et nous nous devons de rester lucides. Nous ne sommes pas ici dans une croyance. Pour une voyance, on constate au bout du compte ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas.

Les personnes qui me consultent depuis des années ont appris à me connaître et savent comment je travaille. Les nouvelles ne doivent surtout pas parler d’elles, ne pas poser de questions et me laisser m’exprimer. C’est concrètement la meilleure manière de procéder.

Le client qui parle trop ne bloque pas ma voyance mais je dois lui demander de prendre le temps d’écouter. Quand c’est possible je dis « oui », mais si ce n’est pas le chemin de la personne, je le dis aussi. Souvent obnubilés par leurs problèmes, les consultants passent à côté de ce qu’on leur dit… Il faut capter l’attention sur la situation présente, sans dramatiser ni se tromper d’émotions.